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VIP-Blog de perekjean
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  • Créé le : 05/02/2013 13:43
    Modifié : 02/07/2014 22:26

    masculin (31 ans)
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    Questions fondamentale pour la mission et la foi en Afrique

    22/03/2013 01:03



     

     QUESTIONS FONDAMENTALES POUR LA FOI ET LA LIBERATION EN AFRIQUE

         

    La mission en Afrique a – t- elle contribué à la foi et à la libération de l’Africain?

         Ce qui peut paraître en notre sens paradoxal, c’est qu’à l’heure où l’on rend hommage à l’œuvre des missionnaires, compte tenu de « la splendide croissance de l’Eglise en Afrique » [1]qui est due à leur dévouement et à leur générosité, l’on éprouve en même temps le besoin, et cela dans tous les milieux de réflexion, de s’interroger avec franchise et perspicacité sur la pertinence de l’œuvre missionnaire en Afrique.  C’est un exercice auquel l’intelligence ne doit se dérober à l’heure actuelle. Il n’a point pour objectif de nous maintenir dans le passé encore moins de le dénier ou le dénigrer, mais au contraire il nous aide à consolider notre foi et à nous projeter dynamiquement dans notre avenir commun.

         La Mission en Afrique est-depuis ses origines mêmes-, une « aventure ambiguë »[2]   dans une Afrique qui est elle-même restée toujours ambiguë. C’est pourquoi l’Afrique doit toujours s’interroger sur la sincérité de sa rencontre et de ses rapports avec le Christ, l’Evangile, l’Eglise et de sa mission.  Et il faut d’abord nécessairement commencer par les échecs de ces rapports.[3]  Car la Mission qui a commencé avec l’époque coloniale pose toujours question parce qu’entre l’une et l’autre il a existé une collusion bien suspecte.  Tout comme la colonisation, la Mission en Afrique a été elle aussi « une entreprise de violence». [4] C’est pourquoi d’ailleurs pour l’opinion de l’époque ancienne et même actuelle « le drapeau français et la croix apporteraient la civilisation chrétienne dans ces pays islamistes et fétichistes ».[5]  Ainsi, « pour de nombreuses générations (d’Africains), le christianisme sera une religion de Blancs.»[6] Selon Méthode GAHUNGU, reprenant et analysant la méthode d’évangélisation du cardinal Lavigerie et de ses missionnaires Pères blancs, le christianisme avait pour « projet de porter aux pauvres déracinés de l’Afrique les bienfaits de la civilisation chrétienne occidentale. » [7]  Dès lors que l’Eglise s’est résolument inscrite dans une « mission de civilisation » et de salut des âmes des nègres et non d’évangélisation, épousant ainsi l’air du temps, elle ne pouvait que se compromettre avec la colonisation qui s’était elle aussi inscrite dans cette même prétendue et lugubre « mission de civilisation ».  Nous avons encore en souvenir des propos d’un de nos professeurs du premier cycle du collège qui ne cessait de pourfendre l’Eglise à longueur de cours à cause de ses relations ambiguës avec les colons.  Il disait en substance que derrière la Bible du missionnaire se cachait la chicote du colon.  De fait, l’attitude des colons et des missionnaires elle-même ne pouvait démentir de tels propos.  Le christianisme s’est révélé en Afrique comme l’appareil idéologique de l’Occident colonisateur.  Mongo Béti, dans son roman polémique Le pauvre Christ de Bomba[8], a mis en scène le missionnaire R.P.S. DRUMONT et l’administrateur VIDAL. Le premier, faisant cas au second des difficultés qu’il avait à convertir à la vraie religion ses fidèles noirs, celui-ci a tenté de le rassurer car bientôt une route allait être ouverte dans la région de ces noirs difficiles à croire en Christ et qu’ainsi, craignant d’être enrôlés de force pour les travaux de cette route, ceux-ci se convertiront véritablement car auprès du missionnaire ils éviteront les brimades grâce à ses liens avec l’administrateur.  Dans son analyse, le R.P.S DRUMONT parvient à se poser la question suivante après vingt (20) ans de mission en Afrique : « Voyez-vous, le problème qui me tourmente est celui-ci : les quelques Noirs qui ont adhéré au christianisme l’ont-ils réellement fait de leur propre gré ? »[9] Même s’il ne décline pas ici clairement la complicité tacite ou de fait entre le missionnaire et l’administrateur colonial, il n’en est pas moins conscient.  D’ailleurs, un vieillard qui dissuadait un chef de village de porter main au R.P.S DRUMONT après que celui-ci a brisé leurs instruments de danse, révèle explicitement la complicité entre missionnaire et administrateur colonial : « Ecoute-moi, fils, écoute-moi donc.  Est-ce que tu l’oublies, fils ?  Que veux-tu, il n’oserait pas nous provoquer ainsi, s’il ne se sentait appuyé derrière lui par tous ses frères.  Avec ça qu’ils sont solidaires…ne l’affronte pas.  Avec eux, on ne sait jamais. »[10]

     Dans son roman Le vieux nègre et la médaille, Ferdinand OYONO décrit également cette situation avec Meka, un chrétien qui doit recevoir une médaille de la part de l’administration coloniale parce qu’il a cédé ses terres à l’Eglise.[11]

      Le gouverneur Fourneau est plus explicite : « Nous avons la garantie que l’influence des missions dont l’établissement au Cameroun a été autorisée, s’emploiera au profit de l’action française ».[12] En 1884, le diplomate Théodose de Langrené, écrivait plus gravement : « Tout en prêchant l’Evangile, ils y feraient connaître et respecter la France et pourraient ainsi préparer la voie à sa domination future.»[13]

       De toute évidence, le christianisme, en s’imposant comme la religion du vainqueur, a aussi correspondu à des enjeux et stratégies de domination en Afrique.

      Jean-Marc ELA constate lui aussi que l’échec de l’évangélisation se vérifie alors dans  les structures de nos Eglises d’Afrique qui sont un héritage occidental.  Cet héritage nous a été légué sans que les conditions de fonctionnement de ces structures soient fondamentalement changées.  L’Eglise catholique en Afrique demeure, de facto, sous l’emprise du pouvoir occidental.  Ce constant de Jean-Marc ELA met en lumière ce que dit Sidbé SEMPORE sur cet évangélisation.  Pour lui, celle-ci n’a « labouré dans l’homme africain que la surface qui (lui) paraissait labourable, laissant en friche un no man’s land hérissé de touffes d’interrogation, de doute, d’aspiration et d’insatisfaction ».[14]

        Ainsi, ZACHARIE, personnage de la même œuvre de Mongo BETI et cuisinier du R.P.S DRUMONT, lors d’une tournée missionnaire avec celui-ci qui voulait savoir « pourquoi les gens se détournaient ainsi de la religion ? » alors qu’ils « y étaient venus en masse au début ?», a eu ce courage rare à un homme de son statut en face de son patron blanc pour lui dire clairement que ce qui intéressait ceux qui s’étaient convertis, ce n’était pas de découvrir Dieu qu’ils adoraient déjà à leur manière, mais de connaître le secret du Blanc.  Mais hélas ! celui-ci leur a parlé de Dieu au lieu de leur livrer ses secrets  [15]

      Dans ce sens, Denis, personnage et narrateur du même roman de Mongo Béti qui était « enfant de chœur », se pose cette question fort pertinente : «  Moi aussi je commence à me demander si la religion chrétienne convient vraiment aux Noirs, si elle est bien faite à notre mesure.  Je le croyais fermement puisque Jésus-Christ a dit à ses apôtres : ‘Allez, et annoncez la bonne nouvelle aux peuples de la terre… ‘ Mais maintenant je ne sais plus…Il l’a pourtant bien dit ! Je suis certain qu’il l’a dit ! »[16]

        La littérature africaine dépeint fort abondamment cet échec de l’évangélisation.[17]  Le père Joseph, dans un échange fort enrichissant avec MELEDOUMAN – personnages de La carte d’identité- fait ce constat d’échec parlant de ses fidèles : « Tous autant qu’ils sont, ils étaient et demeurent animistes.  La religion catholique, la sainte religion, c’est du vernis pour eux : vernis, oui, c’est du vernis. Ils n’abandonneront jamais leurs fétiches, pour adorer le vrai Dieu.  C’est peine perdue.  Dieu, que peut-on faire avec des animaux pareils ?  Ont-ils seulement une âme qu’on peut sauver, sauver par le salut chrétien ? »[18]

          Après l’ère missionnaire, on peut toujours s’interroger, à bon droit, de ce qu’a été Jésus-Christ pour ceux à qui il était annoncé.  La Mission accomplie en Afrique a-t-elle réellement contribué à le faire connaître ?  Une fois encore Mongo BETI, à travers ce personnage, nous donne une réponse.  Aux prises, en effet, avec le R.P.S DRUMONT avec qui il voulait en découdre coûte que coûte à cause de ses manières cavalières et désinvoltes de traiter la tradition africaine, il crie son ras le bol : « Jésus-Christ, Jésus-Christ…encore un Blanc ! Encore un que j’aurais eu plaisir à écraser sous mon seul pied gauche.  Ouais !  Jésus-Christ, Jésus-Christ, est-ce que je le connais, moi ?  Est-ce que je viens te causer de mes ancêtres, moi ?  Jésus-Christ, qu’est-ce que je m’en moque !  Si seulement tu savais combien je m’en moque, de ton Jésus-Christ.  Si seulement je pouvais te tirer les oreilles un moment et les rendre un tout petit peu plus rouges…Jésus-Christ, Jésus-Christ… Vermine !...»[19]

      De son côté Chinua Achebe, écrivain Nigérian, met en dialogue des missionnaires (Noirs et Blanc) venus s’implanter presque de force dans un village :

    • « Si nous abandonnons nos dieux et suivons votre dieu, demanda un autre homme, qui nous protégera de la colère de nos dieux et de nos ancêtres négligés ? »
    • « Vos dieux ne sont pas vivants et ne peuvent vous faire aucun mal, répliqua le Blanc. Ce sont des morceaux de bois et de pierre. »

    Quand cela fut interprété aux hommes de Mbanta ils éclatèrent en rires moqueurs.  Il fallait que ces hommes soient fous, se dirent-ils en eux-mêmes.  Autrement, comment auraient-ils pu dire qu’Ani et Amadiora étaient inoffensifs ?  Et Idemili et Ogwugwu aussi ?  Et quelques-uns commencèrent à s’en aller. » [20] Par la suite, Chielo, la prêtresse d’Agbala, personnage du même roman de Chinua Achebe, appela les convertis « les excréments du clan », et la loi nouvelle (l’Evangile) était à ses yeux « un chien fou venu les dévorer.» [21] Dans le roman satirique de l’écrivain camerounais Ferdinand OYONO, le missionnaire lui-même fut souvent désigné par ceux qui ne le comprenaient pas de « ce maudit Blanc. » [22]

         Quel type de chrétiens une telle mission a-t-elle pu bâtir ou construire ?  L’entretien entre la femme du Commandant de cercle de Dangan et leur boy-cuisiner chrétien Joseph, toujours dans la même œuvre de Ferdinand OYONO, est révélateur du type de chrétien que cette mission a accouché:

    • « Tu es chrétien n’est-ce pas ?
    • Oui, Madame, chrétien comme ça…
    • Comment chrétien comme ça ?
    • Chrétien pas grand-chose, Madame.  Chrétien parce que le prêtre m’a versé l’eau sur la tête en me donnant un nom de Blanc…
    • Mais c’est incroyable ce que tu me racontes là !  Le commandant m’avait pourtant dit que tu étais très croyant ?
    • Il faut bien croire comme ça aux histoires des Blancs…
    • Ça alors !

    Madame semblait suffoquée.

    • Mais, reprit-elle, tu ne crois plus en Dieu ?...Tu es…redevenu fétichiste ?
    • La rivière ne remonte plus à sa source…Je crois que ce proverbe existe aussi au pays de Madame ? »[23]

         Le malaise perceptible qui semble saisir « Madame » porte en réalité l’écho d’un échec souvent larvé, souvent retentissant de la Mission, du moins du point de vue de l’annonce à proprement parler de l’Evangile en lui-même aux Africains.

         Quant à Meka, dans le roman de Ferdinand OYONO, le vieux nègre et la médaille, pensant à son baptême après des déboires avec les Blancs qui venaient pourtant de le récompenser d’une médaille pour sa charité vis-à-vis de l’Eglise et de la France, il regretta « le jour où je suis devenu un esclave ! » [24]

     Telle a été malheureusement, la plupart du temps, la réalité des faits de la Mission en Afrique. Indélicats, inattentifs aux traditions culturelles de ceux à qui l’Evangile était annoncé, inélégants et volontairement fort déloyaux, les missionnaires,  la plupart du temps, n’ont pas été à la hauteur de la tâche.  Ils ne se sont donc pas fait comprendre.  Beaucoup d’entre eux l’ont confessé, fût-il tardivement.  L’accointance nocive avec la « Mission de civilisation de la Grande France » a torpillé dangereusement l’activité missionnaire, d’où son échec souvent fracassant dans biens de contrées africaines.  On peut nous faire remarquer qu’en se focalisant uniquement sur la culture pour apprécier l’activité missionnaire, on ne peut que parvenir à ces conclusions « subjectives », à la limite « ingrates».  On nous traitera même de « sauvages ingrats». [25] Nous n’en disconvenons outre mesure, certes.  Mais la réalité est visible qui saute aux yeux que l’ère missionnaire a contribué à la désagrégation et à l’affolement de l’Afrique.  Dans beaucoup de cas, le christianisme et la colonisation ont plongé l’Afrique dans une « grande nuit ».[26]

        Ce constat d’échec traversé par le mépris et le dédain de ceux à qui l’Evangile est annoncé révèle au grand jour les faiblesses d’un christianisme qu’on veut universel.  Sur le tard de sa présence en Afrique, le R.P.S. DRUMONT, pourtant grand défenseur de la Mission, avec beaucoup de lucidité rare à un missionnaire de son époque, déclare, comme un aveu d’impuissance voire d’échec : « Ces braves gens ont bien adoré Dieu sans nous.  Qu’importe s’ils l’ont adoré à leur manière…en mangeant de l’homme, ou en dansant au clair de lune, ou en portant au cou des gris-gris d’écorce d’arbre.  Pourquoi nous obstiner à leur imposer notre manière à nous ? »[27]

         Fort malheureusement, cette obstination à imposer leur manière à eux de comprendre Dieu et le monde nous a conduits à cette situation hybride que caricature fort bien cette chanson congolaise très actuelle : « Chrétiens, vous voilà malheureux !   Le matin à la messe, le soir chez le féticheur ; amulettes au rein, scapulaire au coup.  Chrétiens, vous voilà malheureux ! » Que faire ?  Il faut la réactiver en vue d’autres perspectives et ambitions plus audacieuses pour le Royaume des cieux.  Pour réussir cela, restituer  à l’homme noir son identité piégée nous semble un enjeu important.

     

     


    [1] Jean-Paul II, Ecclesia in Africa, n°s 38-35.

    [2] Nous empruntons cette expression du titre de la célèbre œuvre citée ci-dessus.

    [3] Une chose est sûre, la Mission n’a pas été qu’échec.  On peut longuement s’étendre sur ses bienfaits.  La littérature dans ce sens est abondante.  Toutefois, dans le cadre de notre travail, nous estimons que relever ses échecs peut nous aider à aller plus loin dans l’évangélisation présente et future de l’Afrique.

     

    [4] MVENG, E., « De la sous-mission à la succession », Civilisation noire et Eglise catholique, Présence africaine/NEA, Colloque d’Abidjan, 1977, p.268.  Pour sa part Cheik Anta Diop fait ces trois griefs contre le christianisme : « le christianisme est un moyen de désintégration sociale et politique ; il est un moyen de colonisation, ou une forme de l’impérialisme occidental moderne ; il est responsable de la mort des cultures dans les régions où il est passé », cité par TSHIBANGU Th., in Théologie africaine au XXIè siècle.  Quelques grandes figures, vol.1, Kinshasa, 2004, p.190.

     

    [5] ELA, J.-M., Le cri de l’homme africain, p.32-34.  Sur le même sujet, Cf. aussi KABASSELE, F., Le christianisme et l’Afrique, une chance réciproque, Paris, Karthala, 1993, pp 44-50.

    [6] Ibidem, p.34.  D’ailleurs, en langue baoulé de Côte d’ivoire, l’Eglise catholique est ainsi désignée : “Eglise des Blancs’’ ou “Eglise des pères’’ (allusion faite aux missionnaires blancs).

     

    [7] GAHUNGU, M., La formation dans les séminaires en Afrique.  Pédagogie des Pères Blancs,  Paris, L’Harmattan, 2008, p.17.

    [8] BETI, M., Le pauvre Christ de Bomba, Paris, Présence africaine, 1976, 286p.

    [9] Ibidem, p.51.

    [10] Ibidem, p.79.

    [11] Ibidem, p.26.

    [12] Cité par N’GONGO, “pouvoir politique occidental dans les structures de l’Eglise en Afrique’’, in Civilisation noire et Eglise catholique, Présence africaine/NEA, Colloque d’Abidjan, 1977, p.42

    [13] Cité par QUENUM, A., Evangéliser, Hier, Aujourd’hui.  Une vision africaine, Abidjan, ICAO, 1999, p.169

    [14] Cf. Concilium n°126, p.23.

    [15] Cf. BETI, M., Op. cit., pp 45-46

    [16] Cité par Pius NGANDU NKASHAMA, « L’image de Jésus-Christ à travers les littératures africaines », in Chemins de la christologie africaine, nouvelle édition revue et complétée, coll. Jésus et Jésus-Christ, N°25, Paris, Desclée, 2001, p62.

    [17] Il y aussi une autre littérature africaine qui surestime l’activité missionnaire.  On pourrait la consulter pour une vue d’ensemble de la situation missionnaire.

    [18] ADIAFFI, J.M., La carte d’identité, Evreux, CEDA-CECAF, 1998, p.93.

    [19] BETI, M., Op. cit., pp 79-80.

    [20] CHINUA, A., Le monde s’effondre, Paris, Présence africaine, p.176. La scène ressemble étrangement bien à celle de l’Apôtre Paul à Athènes au milieu des philosophes grecs dans le livre des Actes des Apôtre au chapitre 17.

    [21] Ibidem, p.173.

    [22] OYONO, F., Une vie de boy, Paris, Julliard, 1956, p.18.

    [23] Ibidem, p.88.

    [24] OYONO, F., Le vieux nègre et la médaille, p.152.

    [25] C’est de cette façon que furent désignés les fidèles du RP Vandermayer dans OYONO F., Une vie de boy ,  p81.

    [26] MBEMBE, A., Sortir de la grande nuit.  Essai sur l’Afrique décolonisée, Paris, La Découverte, 2010, 248p.

    [27] BETI, M., Op. cit., pp 196-197

     





     

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