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VIP-Blog de perekjean
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  • Créé le : 05/02/2013 13:43
    Modifié : 02/07/2014 22:26

    masculin (31 ans)
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    A la découverte de Jean-Marc Ela

    14/03/2013 13:37



                     A LA DECOUVERTE DE JEAN-MARC ELA

    Les quelques recherches que nous avions effectuées sur ce savant africain camerounais nous ont permis de découvrir sa science et sa théologie. Celles-ci sont entièrement au service de la libération de l’Afrique. Nous nous proposons, à travers une série d’articles, de vous faire découvrir cet intellectuel qui aura marqué l’histoire récente de la théologie africaine.

     

    I/ PRELIMINAIRES

    Jean-Marc Ela, un penseur au service de la libération de l’Afrique

         Quand on lui demande comment il est parvenu à s’intéresser à l’Afrique alors qu’à l’école primaire toute la formation qu’il a reçue était essentiellement axée sur la France, Jean-Marc Ela répond qu’il s’est inspiré de cet enseignement français non seulement pour mieux connaître ceux qui avaient été ses maîtres, mais aussi pour en tirer les possibilités pour combattre ce qu’il a considéré comme une domination à laquelle il ne pouvait pas se résigner.[1] Selon lui, il est sorti de cette école pour essayer de voir comment il pouvait échapper d’abord lui-même, à la domination et contribuer, par la suite, à la libération de l'homme africain en se mettant à son service.[2]

     

    Lieux d’éclosion de sa christologie de libération africaine

     

         Trois événements qu’il qualifie de « déterminants » ont, selon lui, fait surgir sa théologie : 1) Son expérience personnelle de libération : Il estime qu’il a dû se libérer lui-même au départ d’un certain nombre de contraintes et d’oppressions pour tenter de repenser à nouveaux frais les problèmes qui semblaient être ceux de la mission et de la foi. En effet, ne se sentant pas la vocation de gestionnaire d’un « christianisme en décomposition », il a dû prendre ses distances par rapport à un « modèle d’Eglise pensé ailleurs »[3]pour les Africains ; 2) Sa vie au milieu des paysans du Nord-Cameroun : Jean-Marc Ela a vécu une expérience pastorale de quatorze (14) ans au Nord-Cameroun avec les paysans Kirdi.[4]Il a partagé avec eux, dans cet endroit frontalier au désert, leur détresse et leur misère causées par des pouvoirs qui oppriment et appauvrissent. Il a vécu la douloureuse situation « des milliers de paysans (qui) sont contraints d’arracher les tiges de mil qui commencent à pousser pour semer le coton»[5]qui ne nourrit personne. Il a lutté avec eux pour qu’ils survivent ; 3) « La colère de la femme Kirdi » : Un jour, au cœur d’un débat sur Dieu organisé sur le mode de la palabre africaine, une femme prend la parole, tout en colère pour demander: « Dieu, Dieu, et après ? » La colère de cette femme contre Dieu a été provoquée par ce qui semble être le silence du Dieu de Jésus-Christ devant la pauvreté, la misère et l’oppression de ces paysans du Nord-Cameroun. Par la suite, toute sa théologie a consisté a montré ce qu’est le Dieu de Jésus-Christ pour les hommes et femmes en situation de sécheresse, de pauvreté et de famine, d’injustice et d’oppression.[6]

          On peut aussi ajouter à cette tripe réalité qui a façonné sa théologie, sa tripe formation théologique, sociologique et anthropologique. Jean-Marc Ela a su articuler sciences humaines et science théologique pour construire une christologie dont le point de départ est l’homme en tant qu’image de l’image de Dieu : Jésus-Christ.[7]Cela se découvre à travers ses œuvres théologiques.

     

    Les œuvres théologiques majeures de Jean-Marc Ela

     

         Jean-Marc Ela a écrit de nombreux ouvrages théologiques que nous  signalons ici:

    - En 1980, il publie Le cri de l'homme africain. Questions aux chrétiens et aux Eglises d’Afrique, qui selon lui, est le cri des pauvres d'Afrique, en échos aux cris d'Israël en esclavage en Egypte, mais surtout au cri du Christ sur la croix : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » (Mt 27, 46). C'est un cri à la fois d'angoisse, d'espérance et de libération.  C’est ce cri qui va d’ailleurs retentir comme en échos dans toutes ses réflexions théologiques et même sociologiques.  Il y révèle que

         « le Dieu de la prédication missionnaire semble avoir été un Dieu si lointain, si étranger à l’histoire des colonisés, des exploités et des opprimés qu’il s’identifie difficilement au Dieu de l’Exode qui prend conscience de la situation d’oppression et de servitude où se trouve son peuple».[8]

    - En 1981, en collaboration avec René Luneau, il publie Voici le temps des héritiers, Eglises d'Afrique et voies nouvelles où la question du christianisme africain libéré des pouvoirs de Rome demeure au centre de sa réflexion. Mais aussi, il y soutient que les Eglises africaines ont à lutter contre les oppressions des pouvoirs politiques. Bien plus, parlant des relations entre les Eglises d’Afrique et d’Occident, qu’il appelle « problème d’Eglise », il fait remarquer qu’ 

         « il est certain que si au lieu de divertir le public européen par les vieilles légendes de la pauvreté de leurs ouailles, les missionnaires s’appliquaient à révéler à l’Occident le visage du néo-colonialisme qui maintient l’Afrique dans la famine et la dépendance, ils retrouveraient une nouvelle crédibilité aux yeux de beaucoup d’Africains».[9] 

    - En 1985, il publie Ma foi d'Africain[10]où il évoque en termes de défis majeurs les problèmes de la lecture de la Bible en Afrique, de pauvreté, d'oppression, de nourriture, de santé et donc de survie des peuples africains. Ainsi, Ma foi d'Africain veut montrer comment il est possible d'enraciner l'Evangile de Jésus-Christ dans la vie d'un peuple et de rencontrer Dieu sur les chemins de notre histoire. Ma foi d’Africain se trouve être l’écho sans cesse retentissant du « cri de l’homme africain ».

    - En 1992, il publie Le message de Jean Baptiste. De la conversion à la réforme dans les Eglises africaines[11] où à partir de l'image du Précurseur, il invite les chrétiens africains et l'Eglise africaine à être courageux à la suite du Christ en s'opposant à toutes les formes de dictature, qu'elles soient politiques ou spirituelles. Dans cet ouvrage de théologie, la figure du Précurseur est montrée comme signe avant-coureur d’un Evangile qui doit contribuer à la libération de l’Afrique dont le Christ lui-même est porteur. Pour Jean-Marc Ela, le prophète du désert qu’est Jean-Baptiste annonce aujourd’hui encore la conversion qu’apporte le Christ à travers son Evangile. 

    - En 2003, il publie un véritable chef-d'œuvre théologique : Repenser la théologie africaine. Le Dieu qui libère. Cela peut être considéré comme le couronnement de trente(30) années de travail et de réflexion, de lutte et de détermination, une contribution majeure à la théologie africaine contemporaine. Il essaie d'y montrer que la Révélation de Dieu en Jésus-Christ trouve sa pleine signification en Afrique lorsque l'Eglise fait mémoire d'un Evangile qui libère. Pour lui, ce qui compte pour l’Eglise d’Afrique aujourd’hui, c’est qu’elle soit un sacrement, un « signe » en Afrique.

         «  En réalité, soutient-il, il s’agit d’un nouveau type de présence d’Eglise à partir d’une expérience évangélique au milieu d’un peuple. Il n’y a, ici, rien à « transplanter ».  Ce qui importe, c’est d’être là et de tenter de vivre en profondeur sa foi parmi les autres, sans cette obsession de bâtir et de remplir les Eglises qui tend à absorber les énergies missionnaires…Au lieu de faire nombre, il s’agit de faire signe».[12]

     

         En parcourant ses œuvres théologiques on en dégage facilement les thèmes majeurs qui les traversent.

     

    Les thèmes majeurs de la théologie de Jean-Marc Ela

     

         Jean-Marc Ela a construit une christologie de la libération africaine. Il le soutient lui-même en reconnaissant qu’il a été parmi les premiers à poser les bases d’une théologie de la libération en mettant en exergue les rapports entre Dieu et les peuples opprimés d’Afrique.[13]En bâtissant cette théologie à partir de l’image de Jésus-Christ, Fils de Dieu, sa théologie devient une christologie de la libération du continent noir.[14]

     

    « La théologie sous l’arbre »

     

         La « théologie sous l’arbre » est, selon Jean-Marc Ela, celle qui s’élabore dans le « coude-à-coude » fraternel où la relecture de l’Evangile fonde des communautés de foi capables de soutenir et de défendre l’espérance des pauvres en Jésus-Christ. En fait, elle est une théologie de la solidarité dont la source se trouve en Jésus-Christ lui-même qui s’est fait solidaire des pauvres en acceptant le bois de la croix.[15]Il interprète le Magnificat de Marie dans la Bible comme la sollicitude et la solidarité de Dieu pour les pauvres alors que les riches sont renvoyés les mains vides.[16]Cette théologie a suscité « la pastorale du grenier ».

     

    « La pastorale du grenier »[17]

     

         Cette pastorale lui a été inspirée par cette scène où un vieillard, au cours d’une soirée de causerie sur Dieu dans un village, a fait sèchement remarquer qu’autrefois Dieu avait parlé aux hommes mais aujourd’hui il s’est tu et a ainsi livré les hommes à la faim, à la maladie et à la mort.[18] Il fait ainsi allusion à la politique de la culture du coton contre celle du mil.[19]La pastorale du grenier permet ainsi de lutter contre  l’«idéologie vulgaire du développement »,[20] ce modèle qui privilégie ce qui affame un peuple au profit particulier d’un « club de nantis».[21]Par la «pastorale du grenier», il s’agit de refuser de façon méthodique un système qui produit des greniers vides et donc annonce la mort. Le message et la pratique de Jésus, dénonçant l’exploitation des paysans,  exigent de nouvelles formes de rapport où les hommes luttent contre tout ce qui peut leur priver de la ration de mil.[22]Cette pratique pastorale fonde toute la thématique et l’ossature de sa théologie que sont la foi et la libération.

     

    La foi et la libération

     

       En parlant de sa théologie, Jean-Marc Ela nous apprend qu’elle est née dans les villages. Sa théologie est née plus précisément sous l’arbre à palabre, dans les montagnes du Nord-Cameroun. Les soirs, il se retrouvait avec les paysans et les paysannes. Ils lisaient alors ensemble la Bible avec leurs yeux d’Africains. Il a fait cela pendant quinze ans avec ces paysans pauvres qui étaient devenus une partie de lui-même et les inspirateurs de sa christologie[23].

        La foi et la libération africaines sont au cœur de la christologie de Jean-Marc Ela. Pour lui, la foi de l’Africain doit se construire et se manifester autour de la question de la libération des pauvres en Afrique.[24] La foi conduit à la libération et celle-ci doit être le reflet permanent et dynamique de celle-là. Toutes deux supposent un engagement et une lutte en faveur des pauvres, des opprimés et des marginalisés qui deviennent un lieu théologique en Afrique. La raison de tout cela est que, selon Jean-Marc Ela, Dieu révèle toujours à l’homme que son salut est déjà à l’œuvre bien que sa réalisation en plénitude soit encore à venir. Ainsi, on ne peut pas reléguer le bonheur des hommes, la justice et la liberté « dans un au-delà sans lien avec les réalités et les situations du monde présent».[25]

         Ce parcours préliminaire nous a permis d’aller à la rencontre de Jean-Marc Ela afin de saisir la quintessence de sa pensée et de sa pratique pastorale au milieu des paysans, sources fondamentales de sa christologie. Nous notons que Jean-Marc Ela a abattu un travail théologique riche qui doit servir à la théologie africaine. C’est une partie de ce travail que nous voulons faire découvrir à travers cette étude. A travers une approche christologique, nous voulons voir comment il aborde les questions de la foi et de la libération dans le contexte africain.  Il est bien de relever que Jean-Marc Ela n’est pas le seul théologien africain de la libération. Nous pouvons nommer avec lui d’autres comme Fabien Eboussi Boulaga,[26] Engelbert Mveng,[27] Meinrad Hebga ou encore Eloi Messi Metogo.[28] Tous ont contribué à l’émergence d’une théologie de la libération qui s’intéresse aux réalités pratiques, sociales et politiques en Afrique en faveur des pauvres et des déshérités.

     

     

     


    [1] Cf. Yao, ASSOGBA, Jean-Marc Ela, Le sociologue et théologien africain en boubou, Paris, L’Harmattan, P.81.

    [2]  Cf. Ibid.

    [3] Jean-Marc, ELA, Ma foi d’Africain, Paris, Karthala, nouvelle édition, 2009, p.25.

    [4] Après ses nombreuses années au milieu des paysans, il a rejoint un quartier pauvre de Yaoundé où avec des jeunes cadres et étudiants, ils ont lu et mis en pratique certains aspects de l’Evangile concernant l’engament de Jésus-Christ pour les pauvres. A la mort de son ami, le père Engelbert MVENG, tué par le pouvoir camerounais, il a essayé de faire comprendre l’injustice de ceux qui gouvernent le Cameroun. Cela lui a valu l’hostilité du pouvoir et son inscription sur la liste rouge des personnes dangereuses à abattre. Il a dû s’exiler au Canada du 6 août 1995 au 28 décembre 2008, date de sa mort.

    [5] Jean-Marc, ELA, Le cri de l’homme africain. Questions aux Chrétiens et aux Eglises d’Afrique, Paris, L’Harmattan, 1980, pp 7-8.

    [6] Cf. Jean-Marc, ELA, Repenser la théologie africaine.  Le Dieu qui libère, Paris, Karthala, 2003, pp 7-8.

    [7] Selon Bénézet BUJO « il est donc très difficile de séparer en Ela le théologien du sociologue. En fait, ils sont tout en lui car sa sociologie a toujours une préoccupation théologique et pastorale ; Cf. « Jean-Marc Ela. Champion d’une théologie sous l’arbre », in Théologie africaine au XXIè siècle. Quelques figures, vol. II, Fribourg, Saint-Paul, 2005, p. 188.

    [8] Jean-Marc, ELA, Le cri de l’homme africain. Questions aux chrétiens et aux Eglises d’Afrique, p.41.

    [9] Jean-Marc, Ela et René LUNEAU, Voici le temps des héritiers. Eglises d’Afrique et voies nouvelles, Paris, Karthala, 1981, p.238.

    [10] Cf. Jean-Marc, ELA, Ma foi d’Africain, Paris, Karthala, 228p.

    [11] Cf. ID., Le message de Jean-Baptiste.  De la conversion à la reforme dans les Eglises africaines, Yaoundé, Clé, 1992, 70p.

    [12] Jean-Marc, Ela, Repenser la théologie africaine. Le Dieu qui libère, p.201.

    [13] Cf. Yao, ASSOGBA, Op. cit. , p.56.  Engelbert MVENG dit la même chose : « La théologie de la libération est née en Afrique » ; Cf. Engelbert, MVENG et B.L., LIPAWING, Théologie, libération et cultures africaines.  Dialogue sur l’anthropologie négro-africaine, Yaoundé-Paris, Clé-Présence africaine, 1996, p.28.

    [14] Il est bien de relever que Jean-Marc ELA n’a pas bâti une christologie systématique. Cependant, le rapport dynamique qu’il établit entre le Christ et les peuples opprimés et pauvres d’Afrique, dégage une christologie qui met en exergue la solidarité de Jésus-Christ avec ceux-ci et oriente toute sa théologie en en faisant une théologie africaine de la libération en Jésus-Christ.

    [15] Selon Ignace NDONGALA MADUKU, cette théologie est « un processus discursif qui fait de la vie quotidienne des communautés chrétiennes le « lieu » de l’élaboration théologique.  C’est une relecture de l’Evangile avec les yeux du petit peuple, mieux, une quête de réponse au « cri de l’homme africain » ; Cf.    « Jean-Marc ELA (1936-2008) ou le bonheur de faire « la théologie sous l’arbre », in Nouvelle Revue Théologique, 131/n°3, Juillet-Septembre 2009, pp.557-569. De cette solidarité avec les pauvres, Jean-Paul II dira que le Christ souffre avec ceux qui souffrent. Il relève que le Rédempteur du monde a faim de toutes les faims de ses frères humains. Il souffre avec ceux qui ne peuvent nourrir leur corps : toutes ces populations victimes de la sécheresse ou de mauvaises conditions économiques, toutes ces familles atteintes par le chômage ou la précarité de l’emploi. Le Christ souffre également avec ceux qui sont légitimement affamés de justice et du respect de leur dignité humaine, avec ceux qui sont frustrés de leurs libertés fondamentales, avec ceux qui sont abandonnés ou, pire encore, exploités dans leur situation de pauvreté ; Cf. Jean-Paul II, « Message pour le Carême de 1984 », in La Documentation catholique, n°1869 (1984), p1260.

    [16] Cf. Bénézet, BUJO, art. cit. p.184.

    [17] Cf. Jean-Marc, ELA, Ma foi d’Africain,  pp.123-128.

    [18] Cf. Jean-Marc, ELA, « La foi des pauvres en acte », in Telema, n°35, 3/83, p.51.

    [19] La culture du coton est le fait des multinationales occidentales qui privilégient les cultures industrielles au détriment des cultures alimentaires dont vivent les paysans et leurs familles.

    [20] Jean-Marc, ELA, art. cit., p.54.

    [21] Ibid.

    [22] Cf. Jean-Marc, ELA, Ma foi d’Africain, p.123.

    [23] Cf.Yao, ASSOGBA, Op. cit., pp.62-63.

    [24] En disant cela, Jean-Marc ELA nous renvoie à une lecture critique et dynamique de l’Exode. En effet, puisque Dieu a arraché Israël de l’esclavage égyptien, nous devons aujourd’hui relire ce passage en relation avec la libération politique, économique et sociale des opprimés.

    [25] Jean-Marc, ELA, Le cri de l’homme africain. Questions aux chrétiens et aux Eglises d’Afrique, p.47.

    [26] Cf. EBOUSSI, B., F., Christianisme sans fétiche.  Révélation et domination, Paris, Présence africaine, 1981, 224p.

    [27] Cf. MVENG, E. et B.L., Lipawing, Op. cit., 236p.

    [28] Cf. Eloi, MESSI, M., « Quelle vie Jésus apporte-t-il aux Africains ? », in Pâques africaines d’aujourd’hui, paris, Desclée, 1989, pp.176-183.

     





     

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